Mastro Titta : Mon Super Héros Préféré, Jorge Mario Bergoglio, est en train de Me Dévorer Tout Cru… Spera et Vanity Fair !

16 Gennaio 2025 Pubblicato da

Marco Tosatti

Chers amis et ennemis de Stilum Curiae, Mastro Titta, que nous remercions du fond du cœur, et à qui nous souhaitons un succès bien mérité avec son livre, soumet à votre attention ces réflexions sur la situation très, très particulière que nous vivons grâce à Jorge Mario Bergoglio, le pape qui comprend tout le monde, sauf ceux qui ne pensent pas comme lui… comme en témoigne la très longue liste de fidèles serviteurs du Christ et de son Église excommuniés, battus, ou mis à la retraite prématurément. Merci de tout coeur a Louis Lurton pour la traduction.  Bonne lecture et bonne diffusion.

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MASTRO TITTA : PAPE HOMO, PAPECUL ET PAPE SODOMIZIO INSTALLEZ-VOUS

Je dois à l’honnête rédacteur en chef de ce blog inclusif, ouvert et accueillant – dans un sens élégant contraire au courant dominant – une petite raison pour ma latence prolongée. En fait, il y en a deux. La première, c’est que je travaille sur un petit livret de fantastique (si la science-fiction existe, fondons la foi-fiction : qui sait, les moutons ne reviendront peut-être pas au bercail) dont je ne vois pas la fin.

La seconde, c’est que mon super-héros préféré, Bergoglio, était en train de me dévorer tout cru : comme ces pauvres fantassins qui sautaient des tranchées en 15-18 pour se faire faucher par les mitrailleuses, si on passe son temps à compulser les affaires papesques, c’est toujours au risque de finir criblé. Comme tout psychologue, j’avais besoin d’un temps sabbatique pour décompresser.

Qu’il en soit ainsi. Reprenons l’année avec des faits connus et étranges que Bergoglio non seulement ne nie jamais, mais confirme et élève souvent au rang de loi. La nouvelle est la suivante : si vous êtes pédé, à partir de 2025, vous pourrez entrer au séminaire sans “barrages” (interdiction d’interdire) à condition de maintenir “l’orientation vers la vie célibataire”. Cette information est rapportée non seulement par VaticanNews, mais aussi par Vanity Fair, ce qui constitue bien plus qu’une confirmation : il s’agit d’un manifeste programmatique. Comme on le sait, jusqu’à présent, barricades, tranchées, barbelés et garnisons équipées de mitrailleuses homophobes avaient envahi les séminaires diocésains.

Toujours à propos de l’histoire d’amour entre Bergoglio et la foire aux vanités : la photo de couverture de de l’autobiofagie de Bergoglio  – le texte dans lequel Bergoglio, avec un voile de fond de teint effet fluffy, rimmel et gloss, comme Erisittone, se dépèce lui-même – est la même qu’une couverture de Vanity Fair de 2021. Je propose une fusion durable des deux journaux : on se débarrasse de quelques journalistes inutiles (un magnétophone suffit pour rapporter la parole du patron, tout au plus une bonne maquilleuse), ce qui donne de belles choses comme VanityNews ou Vatican Fair. La nouveauté est toujours payante.

Présentons quelques arguments paradoxaux, mais élégants, au sujet de la disposition de la CEI. Disons que les homosexuels ont toujours eu accès (j’aimerais dire : adito) aux ordres sacrés avec plus ou moins de difficultés, faisant même des carrières discrètes, comme cela est sous les yeux de ceux qui veulent voir. Ils pouvaient le faire en s’astreignant au célibat et à la chasteté, qui étaient pourtant des contraintes et non des orientations. Nous ne discutons pas ici de la question de savoir s’ils devaient y adhérer : bien sûr que non, mais en leur âme et conscience, ils le pouvaient. L’homme pèche, la tapette ne pèche pas. Un beau progrès sanctionné par ce pontificat sous la bannière du personne ne peut me juger, autrement dit le “dogme Caterina Caselli”.

Quant à l’orientation, synonyme presque parfait de tendance : orientativement, tendanciellement, j’aime les pappardelle au sanglier, les gnocchi au ragoût de lièvre, la focaccia alla genovese. Ensuite, soit je ne trouve pas où manger ces délices et je mange autre chose, soit je les trouve immangeables et je ne les finis pas et je commande autre chose, soit je les trouve délicieux. Le même ordre situationniste qui préside au conseil épiscopal en matière d’admissibilité au sacerdoce.

Il n’en reste pas moins qu’exiger l’orientation vers le célibat – c’est-à-dire le fait de ne pas contracter de mariage – à une époque où la fornication est principalement en dehors du sacrement et souvent aussi en dehors des affections stables, n’exige aujourd’hui aucunement la chasteté. En d’autres termes, cela ne veut rien dire et cela fait rire les poulets, à la fois en tant que poulets et en tant que poulets qui se sentent comme des poulets. Pour l’instant, les prêtres feraient mieux de ne pas se marier, c’est tout. Certainement pas avec des femmes, peut-être avec des hommes, et tant qu’à faire pas entre eux.

Comme il n’y a plus de “barrages” pour poules mouillées, on suppose que des flottes de postulants au cul pointu s’alignent en file par trois avec le reste de deux devant des séminaires plus vides que des tombes égyptiennes. Rien de tout cela n’a été rapporté. Parvenu à ce stade, un postulant attiré par les femmes se sentira-t-il obligé de le préciser, ou pire, devra-t-il le faire ? Un hétérosexuel peut-il considérer sa propre “tendance” positive comme allant de soi, ou devra-t-il se limiter, devant un tribunal ecclésiastique, un jury d’examen ou tout autre organe administratif canonique, à se définir comme un homosexuel raté ayant une tendance au célibat ? Une clarification s’impose d’urgence.

Le postulant hétérosexuel ou peu homosexuel ou qui préfère ne pas préciser qu’il partage une chambre au séminaire diocésain avec un postulant homosexuel, dort-il plus paisiblement à partir d’aujourd’hui ? Le prêtre qui recueille les cabrioles homosexuelles de son frère dans le confessionnal, non seulement lui pardonnera-t-il, mais aura-t-il la liberté de le rappeler à l’ordre ? Celui-là répondra : je suis orienté, je tends, mais la tentation est forte, la chair est faible, la miséricorde de Dieu infinie. Et mille autres petits problèmes pratiques de ce genre.

Mais cela, les ténors de la CEI, guidés par le Pavarotti de Santa Marta en tête, le savent très bien. La vérité crue et douloureuse est que l’on officialise sans le dire publiquement la fondation de la Nouvelle Église de Frocisto, conforme à la nouvelle exégèse proposée par le padre Pasolini, nouveau prédicateur de la Maison Pontificale : celle dans laquelle Jésus s’entretenait sexuellement avec les Apôtres, n’ayant rien de mieux à faire.

Une église où l’urgence d’inclure les homosexuels passera rapidement de l’inclusion des homosexuels à l’exclusion des hétérosexuels et surtout des chastes, à ce stade le dernier obstacle solide au vœu de chasteté : d’autre part, un vote sans électeurs, comme dans une démocratie, reste lettre morte. Au mieux, une orientation, c’est-à-dire un néant pneumatique.

Cela vous paraît-il exagéré ? Combien de temps a-t-il fallu aux homosexuels pour passer de la mendicité de droits catégoriels à leur utilisation avec fureur – et sans la sagesse – d’un Torquemada contre ceux qui ne sont pas homosexuels ? Une église Lgbtq avec ses papes Frocesio, Detetanio et Sodomizio s’apprête à revendiquer Sodome et Gomorrhe comme destination touristique. Heureusement, Dies Irae, dies illa, solvet saeclum in favilla. Ce jour vient toujours, à moins de penser que le Père éternel soit ému de compassion par nos prurits.

Source : https://www.marcotosatti.com/2025/01/15/mastro-titta-il-mio-super-eroe-preferito-jorge-mario-bergoglio-mi-sta-mangiando-vivo-spera-e-vanity-fair/

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