La découverte d’un Livre publié en 2000 qui Prophétisait Deux Papes : l’un Vrai, l’autre Illégitime. Sergio Russo. (Partie II).
22 Novembre 2024
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Marco Tosatti
Chers amis et ennemis de Stilum Curiae, voici la deuxième partie du travail de Sergio Russo sur la découverte d’un livre qui a prophétisé deux papes en 2000…mais lisez ci-dessous. Merci de tout coeur a Louis Lurton pour la traduction. Bonne lecture et bonne diffusion.
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REDÉCOUVERTE D’UN LIVRE, ÉCRIT EN L’AN DEUX MILLE,
QUI PARLAIT DÉJÀ DE LA COEXISTENCE DE DEUX “PAPES” :
L’UN VRAI ET L’AUTRE ILLÉGITIME… (2ème p.)
Le Troisième Secret de Fatima : une clé pour comprendre les temps que nous vivons
Dans l’article précédent, j’ai signalé que la date choisie par le Père Faré pour exposer son analyse historico-canonique de la Declaratio de Benoît XVI était le 13 octobre de cette année, soit 107 ans exactement depuis la dernière Apparition de Fatima.
À ce propos, une aimable Lectrice (Luisa M.) m’a fait remarquer que 140 ans s’étaient également écoulés depuis la grandiose, bien que dramatique, vision du Pape Léon XIII (13 octobre 1884), émettant l’hypothèse qu’à partir de ce 13 octobre, le déclin du pouvoir de Satan sur l’Église et sur le monde aurait commencé inexorablement, et je dois dire que… je suis en grande partie d’accord avec cette thèse !
Un autre prêtre courageux – lui aussi un vrai lion de la tribu de Juda – est sans aucun doute don Fernando Maria Cornet qui, avec son livre extrêmement bien documenté « Habemus antipapam ? », a été capable je dirais de couper le classique “ cheveu en quatre”, en examinant mot par mot et point par point la désormais célèbre Declaratio de Benoît XVI, démontrant qu’il ne s’agit pas du tout d’une “renonciation”.
Parmi les vaillants hérauts au service de la Vérité, je voudrais rappeler le journaliste Andrea Cionci, qui travaille sans relâche depuis près de quatre ans sur ce que l’on appelle la Magna Quaestio, et qui, tout récemment, toujours à propos de la Declaratio du pape Benoît, a fait une découverte à vrai dire pour le moins surprenante, ou mieux, deux des plus grands latinistes italiens – le professeur G.M. Corrias, éditeur des œuvres de Lorenzo Valla, et le professeur R. Funari, le plus grand traducteur de Salluste – tous deux collaborateurs du Dr. Cionci, ont, à la suite d’une suggestion de l’avocate Costanza Settesoldi, examiné le discours prononcé, c’est-à-dire lu, par Benoît lui-même le 11 février 2013…
Eh bien, ces experts latinistes ont ainsi découvert que Benoît XVI, dans ladite Declaratio, non seulement n’a pas commis d’erreur, comme certains l’ont cru “à tort”, mais a au contraire affirmé, sans mâcher ses mots, que :
“[…] C’est pourquoi, conscient du poids de cet acte, je déclare en toute liberté renoncer à mon détriment (mihi) au ministère (ministerio) d’évêque de Rome, successeur de Saint Pierre, à cause du crime (per…. commissum) d’une poignée (manus) de cardinaux le 19 avril 2005, de sorte qu’à partir du 28 février 2013, à la vingtième heure, le Siège de Rome, le Siège de Saint Pierre restera vide, et (je déclare) qu’un conclave pour l’élection d’un nouveau Souverain Pontife devra être convoqué par ceux à qui appartient la compétence.”
Mais il est nécessaire de souligner ici un aspect très important et très crucial : c’est lorsque Benoît dit que “… à cause d’un crime (commis) par une poignée de cardinaux le 19 avril 2005 (date à laquelle l’élection du cardinal Joseph Ratzinger comme successeur de saint Pierre a eu lieu)”.
Entre-temps, nous savons déjà qui constituait cette “poignée de cardinaux” : il s’agissait de la mafia de Saint-Gall, dévoilée par le cardinal Godfried Danneels, et à laquelle appartenaient les cardinaux suivants : C.M. Martini, W. Kasper, K. Lehmann, C. Murphy-O’Connor, A. Silvestrini, J. Polycarpo, B. Hume, J.M. Bergoglio (bien sûr !) et les évêques : I. Fürer, P. Verschuren, J. Vilnet, J. Weber, A.H. van Luyn, J. Doré, A. Kothgasser, L. Huzar (17 membres en tout) – qui voulaient absolument imposer leur candidat, J.M. Bergoglio, à ce conclave, et pourtant, même s’ils ont été “contrecarrés ” par ce même conclave, ils n’ont certainement pas été domptés par lui, et en fait certaines rumeurs, divulguées comme toujours dans les coulisses de ces événements très spéciaux et secrets, disent qu’au quatrième tour de scrutin le cardinal Ratzinger a été élu parce que certains de ceux de “Saint-Gall” ont détourné leurs votes vers lui, débloquant ainsi une impasse qui s’était produite, dans laquelle les votes pour le candidat Bergoglio ne permettaient pas au candidat Ratzinger de rassembler une majorité suffisante pour être élu. Mais tout cela a mis entre les mains de ces cardinaux ultra-progressistes une sorte de “crochet” avec lequel, de manière répétée et sous forme de chantage, ils ont ensuite fait levier sur le doux et pacifique Benoît XVI…
Mais pourquoi s’aventurer dans cette hypothèse audacieuse ?
Je propose donc maintenant trois témoignages (dont l’un est bien connu, l’autre est passé quelque peu inaperçu, et le troisième est absolument inédit) pour confirmer ce qui précède :
– Nous connaissons tous le discours que Benoît XVI a prononcé au lendemain de son élection comme Souverain Pontife, le 24 avril 2005, dans l’homélie de la Sainte Messe pour le début du ministère pétrinien de l’évêque de Rome :
“Priez pour moi, afin que je ne m’enfuie pas, par peur, devant les loups”,
ce qui dénote – si vous me permettez- un niveau de tension très élevé…
– tandis que d’autre part, peut-être très peu de gens connaissent le discours prononcé par Mgr Georg Ganswein, le 21 mai 2016, lors de la présentation d’un livre écrit par Roberto Regoli sur le pontificat de Benoît XVI (ce qui suit est une révélation de Benoît lui-même, car lui seul, bien sûr, pouvait être au courant de ce qui se passait réellement dans ce conclave énigmatique), lorsqu’il dit que dans ce même conclave, deux partis, ou deux factions, ou mieux encore, deux différents types d’Église se sont affrontés :
“… à la suite d’une lutte dramatique entre ledit ‘Parti du sel de la terre’ (‘Salt of Earth Party’) autour des cardinaux López Trujíllo, Ruini, Herranz, Rouco Varela, Medina et ledit ‘Groupe de Saint-Gall’ autour des cardinaux Danneels, Martini, Silvestrini, Murphy-O’Connor : un groupe que [nous venons de le voir ci-dessus], récemment, le cardinal Danneels lui-même à Bruxelles a décrit avec amusement comme “une sorte de mafia-club”. L’élection était certainement aussi le résultat d’un affrontement dont Ratzinger lui-même avait presque donné la clé en tant que cardinal doyen, dans l’homélie historique du 18 avril 2005 à Saint-Pierre ; et c’est précisément là qu’à “une dictature du relativisme qui ne reconnaît rien comme définitif et qui ne laisse comme mesure ultime que son propre ego et ses propres désirs”, il avait opposé une autre mesure : “le Fils de Dieu et vrai homme” comme “mesure du véritable humanisme”.
ce qui dénote à nouveau un affrontement extrêmement acerbe et tragique en cours ;
– et enfin, presque personne ne le sait (en fait, une de mes collaboratrices, Lucia, a réussi à le « trouver » parmi les centaines et les centaines de commentaires que les gens postent lorsque, sur les différents réseaux sociaux, des questions de ce genre sont discutées… en particulier, il se trouve parmi les commentaires de la vidéo d’A. Cionci : « Commissum : pourquoi BXVI fait-il référence au crime d’une poignée de cardinaux le 19 avril 2005 ? », écrit par @damielcassiel).
“Je me souviens d’une interview du cardinal Biffi, qui était présent au conclave de 2005. Il disait : ‘ce fut la bataille la plus dure de ma vie !’ Et, pour comprendre ce qui s’est passé, on peut analyser ses nombreuses conférences ultérieures…
Il y a ensuite une anecdote amusante : Biffi jurait, car il y avait toujours un vote en sa faveur ; il n’avait pas réalisé que c’était Ratzinger qui votait pour lui…
Autre détail, il y a de nombreuses années, hélas, je ne sais plus exactement si c’est dans les documents de l’Alta Vendita ou dans un roman de Malachi Martin, il était écrit que la franc-maçonnerie s’emparerait de la Papauté, à la suite de la démission d’un pape. Et elle le ferait précisément ainsi afin d’humilier et manifester sa propre force et son pouvoir… ”,
Et ceci est également un témoignage hautement dramatique, qui ne peut être nié !
Incroyable, non ? Mais une fois de plus, la réalité dépasse la fiction !
En effet, en parlant de “fiction”, la principale accusation – parmi les centaines qu’il a collectionnées ! – envers l’excellent Andrea Cionci, est d’avoir construit son Code Ratzinger comme une sorte de roman (pour eux un “code” totalement fantaisiste) à la Dan Brown…
Et, par conséquent, l’objection majeure qui lui est faite est la suivante : “Benoît XVI s’est toujours exprimé d’une manière claire et directe que même un enfant pouvait comprendre et, en un mot, il a toujours parlé ‘papal papal’!”
Et c’est certainement bien le cas de Benoît XVI, ceci dit par ailleurs : tout le contraire de la façon de s’exprimer de Bergoglio, le Mercenaire qui ne se soucie pas des brebis, dont le grand théologien argentin, Julio Meinvielle, avait prévu l’avènement, le définissant comme un “pontife ambigu” – seulement Benoît a oui, parlé comme dit plus haut, mais il l’a fait jusqu’à son entrée en Siège empêché (aujourd’hui, cependant, précisons-le bien, après sa mort, le Siège est vacant…. ), et en fait, à partir de la Declaratio – le “saint père, qui le reste… pour toujours!” ), comme il s’est lui-même défini au lendemain de ce prononcé – il a toujours essayé, par la suite, d’envoyer des messages plus ou moins évidents, plus ou moins cryptiques, qu’il fallait déchiffrer…
Et là, je voudrais donner un seul exemple pour le confirmer, parmi les nombreux que j’ai à ma disposition, pour ne pas être trop long : quand Benoît disait – et il l’a dit souvent ! – qu’“il n’y a qu’un seul pape”, mais sans jamais préciser s’il s’agissait de lui-même ou de Bergoglio, eh bien… qu’on ne vienne pas me dire que cette façon (pourtant délibérée et consciente) de s’exprimer, en restant aussi vague, et en augmentant ainsi en conséquence (mais en apparence seulement) le flou parmi les fidèles, sur une question aussi cruciale, eh bien… tout cela était encore une façon de parler “papale papale”!
A ce stade, on pourrait légitimement me demander pourquoi je n’ai pas encore mentionné aussi don A.M. Minutella et Mgr C.M. Viganò (j’expliquerai pourquoi dans le prochain épisode), mais le moment est venu de ne pas tarder plus longtemps à raconter comment j’ai eu connaissance de ce “livre mystérieux” que je mentionne dans le titre…
Ce livre, intitulé “El Sol Eclipsado” (Le Soleil Eclipsé), publié en espagnol par Luis Eduardo López Padilla en l’an 2000, après le dévoilement du soi-disant Troisième Secret par Saint Jean-Paul II à Fatima, le 13 mai 2000, à l’occasion de la béatification des bergers Jacinthe et François Marto, m’a été signalé par un saint prêtre, qui m’a fait remarquer que parmi les chapitres qui composent le texte, il y en avait qui parlaient de : Un schisme dans l’Église : deux Papes rivaux. – Attaque contre le pape de l’intérieur de l’Église. – La franc-maçonnerie, ennemie mortelle de l’Église. – Le schisme : un faux Christ et une fausse Église. – Les chapitres XII et XIII de l’Apocalypse éclairent les première, deuxième et troisième parties du secret de Fatima. – Un pape illégitime. – Le contexte. – etc.
Je ne vais donc ici qu’illustrer les points saillants pour l’instant, car – une fois de plus, hélas – je ne veux pas trop alourdir cette deuxième partie, mais laisser les études plus approfondies et autres réflexions pour un troisième volet conclusif…
Ainsi, L.E. López Padilla affirme à un moment donné (dans les chapitres susmentionnés) :
“Parler d’un antipape, d’un Pape faux ou illégitime n’est pas nouveau dans l’histoire de l’Église. Dans le passé, l’Église est passée à travers des schismes et des apostasies, et elle a déjà eu deux pontifes se sont disputant en même temps le même trône. Aujourd’hui, tout semble indiquer que nous allons dans la même direction : les clés de Pierre, en l’occurrence Jean-Paul II, pourraient bientôt être convoitées par un autre, lorsque les dissidents et les faux maîtres du Vatican décideront de donner le coup ultime à leur projet machiavélique et diabolique“.
[Il est à noter que notre auteur, en faisant ces réflexions, qui aujourd’hui se sont avérées prémonitoires, ainsi que clarifiantes, pensait personnellement que le “pape illégitime” serait intronisé du vivant de Jean-Paul II, et au lieu de cela, la Providence miséricordieuse, nous donnant plus de temps précieux pour nous convertir, a permis que cela se produise plutôt du vivant de son successeur immédiat, Benoît XVI…].
Poursuivant :
“(Les chapitres XII et XIII de l’Apocalypse éclairent le Secret de Fatima) : … ‘la bête qui monte de la terre’ (Ap 13,11) – le pouvoir religieux – ne serait rien d’autre que le contenu de la troisième partie du Secret de Fatima, par lequel la Sainte Vierge prophétisait comment Satan, s’étant introduit au sein même de l’Église, susciterait un faux Christ à la tête d’une fausse Église, c’est-à-dire un faux Pape au sommet d’une Église qui ne serait plus la vraie et qui préparerait le terrain à l’apparition de l’Antéchrist en personne.”
Et encore :
“Il semble opportun de citer maintenant ce que Notre Dame a révélé en 1981 à une religieuse mystique britannique portant le nom de Sofia Maria Gabriel sur le contenu du secret de Fatima. La Sainte Vierge lui a dit en trois mots le résumé du secret de Fatima : deux papes rivaux. Sœur Sophia Maria a expliqué que les paroles de la Vierge signifiaient que ‘dans l’Église, il y aurait une grande crise, centrée sur la papauté vaticane, et que l’Église serait divisée en deux factions’”.
L’auteur cite ensuite un précédent historique (qui explique également le titre de son livre) :
“[…] Comme on pouvait s’y attendre, Célestin V s’est révélé être un pape rigoureux et plein de sainteté. À cette époque, les franciscains croyaient qu’un faux prophète, annoncé au chapitre 13 de l’Apocalypse, au service de l’Antéchrist dans les derniers temps, serait un pontife romain et que cet “antipape” avait déjà été prophétisé par une éclipse de soleil survenue à Rome en 1230.
Le fait est que dans les six mois qui ont suivi l’élection de Pierre l’Ermite comme pape Célestin V, il a été chassé de la hiérarchie vaticane. Et par crainte d’un schisme, son successeur, le pape Boniface VIII, l’a gardé en prison jusqu’à ce qu’il soit finalement tué.
Or, un contemporain des deux, Dante Alighieri, montre avec lyrisme dans le “Paradis” une rencontre avec saint Pierre, qui dénonce l’usurpateur et déclare que son trône est vacant aux yeux du Christ. Et de même que saint Pierre, dans l’œuvre de Dante, fait sa déclaration de trône vacant, Dante, pour sa part, décrit une éclipse, qu’il compare à celle qui s’est produite lors de la Passion du Christ, lorsque, de la sixième heure à la neuvième heure, les ténèbres ont recouvert la terre. Dante décrit ainsi symboliquement une “éclipse dans l’Église“, équivalente à la disparition de ce “frein”, cet obstacle dont parle saint Paul dans la deuxième lettre aux Thessaloniciens, disparition qui ouvrirait la voie à l’arrivée de l’Antéchrist”.
Dans le chapitre “L’obstacle qui retient l’Antéchrist”, l’auteur dévoile le plan de la franc-maçonnerie ecclésiastique :
“Tout se dessine de plus en plus. Nous avons dit que la franc-maçonnerie a un but très clair et précis, bien que le dire puisse entraîner pour beaucoup la perte de l’innocence : il s’agit d’écarter le pape Jean-Paul II [comme nous l’avons dit plus haut : cela s’est plutôt produit avec Benoît XVI, bien que le “plan” ait été déjà prêt à être mis en œuvre, comme nous l’avons vu, depuis le conclave d’avril 2005] de mettre à sa place un autre Pape, qui sera celui qui ouvrira la voie à la manifestation du dernier Antéchrist en personne.”
Je place ici, en conclusion de la deuxième partie de mon article, comme un dernier “avant-goût” du livre désormais devenu moins mystérieux que j’avais promis de vous faire découvrir :
“Eh bien, nous avons vu que nous a été donnée comme imminente l’entrée en scène d’un faux Pape, qui aura une caractéristique unique dans l’histoire de l’Église : il sera à la tête d’une fausse Église, c’est-à-dire d’une fausse religiosité ou d’une fausse voie. Il ne s’agit donc pas de la confrontation de deux Papes, dont la controverse consiste à savoir lequel des deux est le vrai et légitime successeur de Pierre, comme cela a été le cas à plusieurs reprises au cours de l’histoire de l’Église. Dans notre cas, nous aurons la présence de deux Papes, dont l’un sera le représentant légitime de la véritable Église, celle fondée par Jésus-Christ, et l’autre, illégitime et faux, sera à la tête d’une fausse Église ou d’une fausse voie. Nous nous trouverons donc face à deux figures et institutions qui seront à l’origine d’une grande confusion dans les derniers temps. D’une part la véritable Église, et d’autre part une fausse Église, qui sera une laide imitation de la vraie. Une Église qui usurpera le nom de catholique et qui aura son siège même à Rome, là où l’Église a eu sa résidence pratiquement tout au long de son existence”.
À chacun sa vérité!
Sergio Russo (2. – à suivre…)
P.S. Ce travail est maintenant devenu pour moi un… “work in progress”! Car la divine Providence ne cesse de m’offrir de nouveaux matériaux (qui cherche… trouve !), afin d’élargir l’horizon des thèmes que je me suis fixé.
Le livre, dans sa version originale espagnole, est très difficile à se procurer… et je ne l’ai personnellement trouvé qu’ici et ici.. Toutefois, pour ce qui est de savoir si ce livre a vraiment été écrit en l’an 2000, il y a le lien (incontestable) de Google Books : ici. Voici, en revanche, le site officiel (en espagnol, bien sûr) de l’auteur, L.E. López Padilla, que je remercie tout particulièrement pour son soutien : www.apocalipsismariano.com.
Dans la prochaine troisième partie, enfin, je mettrai à la disposition de tous les aimables lecteurs le premier volume (qui contiendra également la traduction italienne de “El Sol eclipsado”) qui fait partie d’une nouvelle série de livres et qui a pour sujet : “Le Troisième Secret de Fatima : clé pour comprendre les temps dans lesquels nous vivons”, qui contiendra tout ce qu’il est possible de savoir sur le Troisième Secret.
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Categoria: Generale