Découverte d’un livre de l’an 2000 qui prophétisait deux papes : l’un vrai, l’autre illégitime. Sergio Russo. (III° Partie).
2 Dicembre 2024
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Marco Tosatti
Chers amis et ennemis de Stilum Curiae, Sergio Russo, que nous remercions du fond du cœur, offre à votre attention le troisième et dernier volet de sa série… La première partie se trouve à ce lien, la seconde à celui-ci. Merci de tout coeur a Louis Lurton pour la traduction. Bonne lecture et bon partage.
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REDÉCOUVERTE D’UN LIVRE, ÉCRIT EN L’AN DEUX MILLE,
QUI PARLAIT DÉJÀ DE LA COEXISTENCE DE DEUX « PAPES » :
L’UN VRAI ET L’AUTRE ILLÉGITIME… (3ème partie)
Le faux prophète s’empresse de persécuter deux “Apôtres des derniers temps”,
car il sait qu’il ne lui reste désormais que… très peu de temps !
Il y a quelques jours, les journaux catholiques en ligne – de la Bussola Quotidiana au Timone- ont accordé une grande importance, à juste titre, à la nouvelle selon laquelle le dictateur nicaraguayen Daniel Ortega a interdit aux prêtres de son pays l’accès aux hôpitaux pour administrer les sacrements aux malades et aux mourants.
Il est dommage, cependant, que tous ceux qui définissent Bergoglio comme “saint père” et “sa sainteté” dans ces mêmes articles, aient incroyablement “oublié” le moment où François, pendant la pseudo-pandémie, a conseillé à tous les fidèles, et donc aussi à tous les prêtres du monde, de “suivre les prescriptions des autorités [c’est-à-dire de ne pas s’approcher des malades et des mourants], parce que cela aidera à mettre fin à cette pandémie” (audience générale du 14 octobre 2020).
Heureusement pour nous, certains fidèles et prêtres, qui ont la mémoire “longue” et non “courte”, ont au contraire commencé à réfléchir, et pas seulement sur le coronavirus et la pandémie (car aujourd’hui, on découvre de plus en plus de documents et de témoignages sur le fait que le premier était un virus de laboratoire, voire militaire, tandis que la seconde était en fait une mesure mise en œuvre par les grandes puissances, comme une forme de coercition et d’assujettissement des populations), mais ils ont également commencé à examiner si la renonciation du pape Benoît XVI était une véritable renonciation et, par conséquent, si l’élection de Bergoglio était donc irrégulière et invalide sur le plan canonique…
Et ils ont commencé à mener cette recherche nécessaire, non pas sur la base d’émotions soudaines ou d’intuitions subjectives, mais sur la base du “pouvoir” rationnel et objectif que possèdent les Canons du Droit Canonique…
Et me reviennent en mémoire – les prophéties étant mon domaine d’étude spécifique – ces mots avec lesquels la Bienheureuse Anne Catherine Emmerich décrit, dans une vision, ce qu’elle voit : “l’Église de Saint-Pierre : elle avait été détruite à l’exception du Sanctuaire et du maître-Autel. Saint Michel descendit dans l’église, revêtu de son armure, et s’arrêta, menaçant de son épée un certain nombre de bergers indignes qui voulaient y entrer. La partie de l’église qui avait été détruite fut rapidement clôturée… afin que l’office divin puisse être célébré correctement. Puis, de toutes les parties du monde, des prêtres et des laïcs vinrent reconstruire les murs de pierre, car les destructeurs n’avaient pu déplacer les lourdes pierres de fondation”. (10 septembre 1820).
Eh bien, j’identifie personnellement dans ces “lourdes pierres de fondation” les canons sacrés du Droit Canonique, parce que, si vous y réfléchissez, Bergoglio, par ses actions “pastorales”, a réussi à introduire dans la sainte Église de Dieu, des bénédictions gay aux processions de pachamama, de “toutes les religions sont égales” aux absolutions sacramentelles sans repentance et… plus qu’on ne peut y en mettre !
Et pourtant, bien qu’il ait souillé et ruiné les “murs et autels” de l’Église catholique, il n’a toujours pas réussi à “déplacer ces lourdes pierres de construction”, c’est-à-dire qu’il n’a pas réussi à changer les Canons Sacrés !
Et, toujours dans le domaine du Droit Canonique, le canon 752, parlant des relations que les fidèles doivent entretenir avec le pape, dit textuellement :
“Il faut accorder non pas un assentiment de foi, mais une soumission religieuse de l’intelligence et de la volonté à une doctrine que le Pontife Suprême ou le Collège des Évêques énonce en matière de foi ou de mœurs, même s’ils n’ont pas l’intention de la proclamer par un acte décisif ; les fidèles veilleront donc à éviter ce qui ne concorde pas avec cette doctrine.”
Eh bien, nous constatons aujourd’hui, au contraire, qu’au mépris de ce canon, des journalistes, des vaticanistes, des historiens, des experts en matière ecclésiastique, des leaders d’opinion du monde catholique (et ici je ne veux pas citer de noms, tant je suis sûr que tous les lecteurs ont très bien compris ceux auxquels je fais référence), tous les deux jours, ne font que critiquer – et parfois de manière très acerbe – l’œuvre et les discours de leur “François Ier”: du saint père, à qui seul doit être accordée une “soumission religieuse de l’intelligence et de la volonté”, de sa sainteté, à qui seul doit être reconnu son propre “magistère authentique, même s’il n’a pas l’intention de le proclamer par un acte décisif.”
Mais non ! En plus de l’obstination à le considérer comme pape, tous reconnaissent en même temps François comme le “récepteur de toutes les hérésies”, et ils ne se rendent pas compte qu’en agissant ainsi, ils ridiculisent même l’affirmation de Notre Seigneur qui a dit : “Et sur cette pierre je bâtirai mon Église”, alors qu’eux-mêmes, à l’inverse, considèrent le Pape François comme des “sables mouvants”, desquels il vaut mieux s’éloigner, pour ne pas sombrer dans la Doctrine et la Morale, ce d’autant plus que le monde incite déjà à faire, avec sa “philosophie”….
Alors, de quoi ces fidèles de “haut rang” ont-ils vraiment peur, sont-ils en fait terrifiés, pour agir et penser de cette manière ?
Ergo : ils sont vraiment épouvantés et scandalisés par la crainte que quelqu’un puisse commettre… un schisme !
Mais vous tous – et que chacun ici me réponde sincèrement – iriez-vous voir un médecin qui, face à une infection grave, purulente et cancéreuse, au lieu de tout faire pour que vous puissiez expulser toute la pourriture de votre corps, afin de vous sauver la vie, au contraire la balaierait, comme on dit, “sous le tapis”, vous conduisant ainsi à une mort certaine et très douloureuse ?
Je pense que non, vous n’accepteriez pas un tel mèdecin….
Pourtant – incroyable, mais vrai ! – certains ont même comparé le “crime de schisme” comme étant bien inférieur au “péché de viol d’un enfant, aux péchés de la chair” et – écoutez, écoutez ! – et même inférieur aux “péchés qui crient vengeance devant Dieu !”
Peut-être ne le croirez-vous pas, mais nous avons dû écouter jusqu’à ça….
Un parmi tous : il y a quelques jours, Bergoglio est allé honorer en personne la radicale Emma Bonino, la définissant comme un “exemple de liberté et de résistance”, parce qu’en une autre occasion il l’avait déjà définie comme une “grande femme de l’Italie d’aujourd’hui”, alors qu’en fait tous les catholiques, dignes de ce nom évidemment, savent très bien qu’elle a été l’inspiratrice et la promotrice de l’avortement, coresponsable de l’assassinat de plus de six millions de victimes innocentes….
Mais, à cet égard, quelle est l’opinion du commun des croyants ?
“Le pape ne connaît sans doute pas très bien l’histoire de l’Italie…”, ou bien “Il l’a peut-être fait pour apporter la parole de Dieu…”, et “Quoi qu’il en soit, nous ne sommes pas tenus de l’imiter : c’est son opinion personnelle… ce n’est pas comme s’il avait parlé ex cathedra !”.
Je comprends, mais avec une certaine amertume, que plusieurs fidèles n’arrivent pas à voir le “personnage” qu’est Bergoglio, comme s’ils étaient subjugués par quelque chose de “sacré”, qu’ils n’osent pas toucher, et encore moins remettre en question…
Il est vrai aussi que le Troisième Secret de Fatima (celui rendu public le 26 juin 2000), selon lequel les trois bergers voient “comme dans un miroir” – une vision donc spéculaire : ce qui est à gauche, est présenté à droite, et vice versa – et qui produit en eux un certain pressentiment… Et voici qu’apparaît UN évêque vêtu de blanc, qui fait visuellement contrepoint au Saint-Père…
Mais l’évêque vêtu de blanc a à ses côtés des Évêques, des prêtres, des religieux et des religieuses qui le suivent, et qu’il conduit sur une montagne escarpée, au sommet de laquelle se trouve une grande croix, sauf que celle-ci est faite de “troncs bruts, comme s’ils étaient faits de liège avec l’écorce”.
Il ne s’agit donc pas d’une croix capable de vous soutenir mais, au contraire, on pourrait presque dire qu’une telle croix est faite comme de… papier mâché !
Le Saint-Père, en revanche, est suivi par d’autres Évêques, prêtres, religieux et religieuses, – mais maintenant ils apparaissent aussi – divers laïcs, hommes et femmes de différentes classes et positions.
Mais à quoi peut-on faire la différence entre le vrai Saint-Père, et cet évêque vêtu de blanc, puisqu’ils semblent très semblables, voire identiques ?
Du fait que le Saint Père est “prosterné à genoux”,… (allez tous regarder les images de la télévision du Vatican, quand Bergoglio est devant le Saint Sacrement de l’Eucharistie : toujours debout, il ne s’agenouille jamais, ni à ces occasions, ni pendant la Sainte Messe… alors qu’au contraire, dans ces mêmes séquences – puisque les “bons catholiques”, ont fourni à Bergoglio l’excuse de la sciatique – on voit que cet “évêque vêtu de blanc sacré”, non seulement s’agenouille, mais se prosterne même, comme lors du lavement des pieds, vers les “apôtres musulmans”, ou en embrassant littéralement les chaussures des délégués du Sud-Soudan, ainsi qu’en bien d’autres occasions). À tel point que le pape Benoît a écrit, dans l’un de ses essais sur la liturgie, que lui-même voyait dans “l’incapacité à s’agenouiller devant Dieu, l’essence même du diabolique…!”
Des mots qui font froid dans le dos, certainement….
Qui est donc Bergoglio ? Puisque le doux Benoît était, lui, vraiment la figure du Bon Pasteur ?
Lui au contraire est le Mercenaire, celui qui n’a aucun souci des brebis, qui est venu “de la fin du monde”, pour ces derniers temps, selon ce que Dieu a permis, afin que “les pensées de nombreux cœurs soient dévoilées” et, comme un saint prêtre me l’a toujours dit : “la véritable division du monde est entre ceux qui aiment la Vérité, même s’ils ne la connaissent pas encore, mais quand elle se manifeste à eux, ils la reconnaissent et l’embrassent, et ceux qui la connaissent peut-être “théoriquement”, mais qui se préfèrent eux-mêmes.”
Or, d’après deux événements prophétiques, les apparitions mariales de Garabandal et le saint évêque Malachie, nous savons que Benoît a été le dernier pape, avant la fin [des temps], ce qui signifie que le voile du temple est sur le point de se déchirer, car nous sommes maintenant entrés au milieu de cette “épreuve finale”, capable d’ébranler la foi de nombreux croyants : le “mystère d’iniquité”» est en effet révélé, sous la forme d’une imposture religieuse, qui offre aux hommes une solution apparente à leurs problèmes, mais au prix d’une apostasie de la Vérité. Et l’Église elle-même n’entrera dans la gloire du Royaume que par cette ultime Pâque, où elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection. (CEC 675-77).
Mais voici déjà deux valeureux et héroïques Prêtres, le père Giorgio Maria Faré et don Fernando Maria Cornet, qui ont commencé à suivre vraiment leur Seigneur, en route vers la dernière Pâque, eux aussi accusés, à l’image du Maître, de diviser et de saper l’unité (de la synagogue, alors) de l’Église, aujourd’hui : qu’ils n’aient pas peur, cependant, même s’ils se trouvent au milieu de la marginalisation et de la persécution… qu’ils sachent, au contraire, qu’ils sont de la Vérité !
Il est vrai que le malin divise, puisqu’il est “celui qui divise”, mais il est tout aussi vrai que c’est le Seigneur qui sépare, c’est ainsi qu’Il sépare les brebis des boucs, le bon grain de l’ivraie, la vérité du mensonge et, en un mot, le Bien du mal…
J’entendis alors une autre voix venant du ciel :
« Sortez, mon peuple, de Babylone,
de peur de vous associer à ses péchés
et de ne recevoir une part de ses fléaux.
Car ses péchés se sont accumulés jusqu’au ciel
et Dieu s’est souvenu de ses iniquités…»
Et comme je le dis toujours en conclusion : c’est ainsi… si c’est ce que vous voulez !
Sergio Russo (3. – fin)
P.S. Et donc, comme promis, vous trouverez sur ce lien le livre que j’ai mentionné dans le titre : https://www.amazon.it/dp/B0DNZB6QDL?ref_=pe_93986420_774957520
En fait, il s’agit du premier volume d’une nouvelle série dont le sujet principal est le Troisième Secret de Fatima, mais pas seulement, il traitera aussi d’autres aspects, de toute façon toujours liés au thème des “derniers temps”, c’est-à-dire à cette branche de la Théologie Catholique qui porte le nom d’Eschatologie.
Spécifiquement : on trouvera au début de ce premier volume, les trois articles publiés dans Stilum Curiae, qui ont précisément donné lieu à la présente série.
Immédiatement après se trouve le texte du troisième secret de Fatima, rendu public le 26 juin de l’an deux mille.
Vient ensuite un bel article, inédit, signé par un Prêtre qui croit, espère et aime la Sainte Eglise, intitulé “Quand le Fils de l’Homme reviendra, trouvera-t-il encore la Foi sur la terre ?”
Et encore un article d’Antonio Yagüe : “Celui qui le retient”, vraiment spécial et intrigant ; ainsi qu’un autre article de L.E. López Padilla : “Ce qui nous attend”.
Ce sera ensuite le tour du texte complet du Soleil éclipsé (traduction de l’espagnol El Sol eclipsado), du même auteur.
Enfin, pour clore ce premier volume, une Consécration au Cœur Immaculé de Marie (avec approbation ecclésiastique).
Ainsi, les passionnés des “choses dernières” trouveront ici un excellent matériel, capable d’étancher leur soif de connaissance, pour ce qui concerne “les choses qui doivent arriver bientôt”. (Ap 1,1).
Note complémentaire : En ce qui concerne don A.M. Minutella, il mérite certainement “les honneurs des armes”, ayant été parmi les premiers à dénoncer la situation d’extrême ambiguïté, au lendemain de l’élection de Bergoglio, qui s’était créée au sein de l’Église catholique… malgré cela, à mon avis, il a commis par la suite ces trois graves erreurs 1) il a exhorté les fidèles à s’éloigner de l’Eucharistie, précisément aux moments où elle était le plus nécessaire, alors que la Vierge a toujours recommandé d’y recourir, dans tant de ses Apparitions ; 2) il a voulu comme s’approprier le “monopole” du concept eschatologique de “petit reste”; 3) et enfin, il semble qu’il se prenne lui-même pour la figure du Grand Prélat, une autoréférentialité qui pourrait être vraiment inappropriée…
Quant à Monseigneur C.M. Viganò, il a certes été comme un phare dans le brouillard, ayant dénoncé avec une constance inlassable la pénétration de la franc-maçonnerie ecclésiastique dans l’Église, mais ensuite, en plus de dénoncer, à juste titre, l’œuvre de Bergoglio, il a fini par mépriser l’action de Benoît XVI, ainsi que tous les papes post-conciliaires, et même le Concile lui-même, jusqu’à (semble-t-il, mais ce n’est pas certain), se faire reconsacrer évêque par les Lefévristes…
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