Nouveau Pape, Vieux Problème : Léon XIV Résistera-t-il à la Tyrannie ?

19 Maggio 2025 Pubblicato da

Marco Tosatti

Cher StilumCuriali, grâce à la recommandation d’Elizabeth Yore, nous portons à votre attention cet article publié par The Blaze, que nous remercions pour sa courtoisie. Merci a Louis Lurton pour la traduction. Bonne lecture et bonne circulation.

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Brian T. Kennedy

 Si le nouveau pontife veut restaurer la confiance dans l’Église catholique, il doit renoncer à l’accord secret avec la Chine et accueillir les fidèles persécutés.

Les catholiques ont un nouveau pape : Léon XIV. La plupart des cardinaux qui l’ont élu ont été nommés par le pape François, et à première vue, le nouveau pontife semble partager beaucoup avec son prédécesseur. Mais il est encore tôt. Les catholiques devraient prier pour que Léon XIV adopte une voie très différente. La raison est simple : l’Église catholique se trouve engagée dans une bataille contre trois idéologies hostiles : le mondialisme, l’islam et le communisme. Et actuellement, elle est en train de perdre sur tous les fronts.

Le pape François a été surnommé le “Pape du peuple”, un titre censé suggérer qu’il défendait les catholiques ordinaires. En réalité, il se rapprochait davantage de la gauche mondialiste. Il s’est ouvertement opposé à la volonté du président Trump de rétablir les frontières américaines et a critiqué les efforts similaires déployés par les nations européennes pour reconquérir leur souveraineté. Sous François, la défense par l’Église de l’ouverture des frontières a contribué au démantèlement de la chrétienté occidentale en encourageant l’immigration massive de musulmans vers l’Europe. Nombre de ces migrants méprisent leurs hôtes chrétiens sécularisés. Pendant ce temps, les dirigeants européens, empreints de culpabilité et détachés des vertus de leur propre civilisation, ont capitulé. Résultat : viols, meurtres et un continent sombrant dans le dégoût de soi. Seule une réforme radicale peut sauver l’Europe du gouffre.

Communisme et Christianisme ne peuvent coexister. Le nouveau pape doit le dire – clairement, sans ambiguïté et sans crainte.

François a également échoué sur le plan pastoral. Face à la crise persistante des abus sexuels qui hante l’Église depuis des décennies, il a refusé de faire preuve de transparence et de justice. Lorsqu’il est devenu pape, il avait l’occasion de demander des comptes aux prêtres prédateurs pour leurs crimes démoniaques et restaurer la confiance parmi les fidèles. Au lieu de cela, il n’a pratiquement rien fait. Son silence a signalé à la hiérarchie que les abus pouvaient encore être dissimulés, voire tolérés. Cette trahison a aggravé les blessures d’une Église déjà en crise et démoralisé des millions de croyants.

Le pape Léon XIV a maintenant le temps de rompre avec le passé. Il doit agir rapidement et avec détermination. L’Église ne peut se permettre un autre pontificat de repli et de complicité.

Un marché honteux

En décembre 2017, le pape François est apparu à la télévision italienne et a publiquement remis en question la formulation traditionnelle du Notre Père. La dernière phrase – « Et ne nous soumets pas à la tentation, mais délivre-nous du mal » (Matthieu 6, 13 ; Luc 11, 4) – est un enseignement direct du Christ. François a demandé : « Quel genre de Père soumettrait ses enfants à la tentation ? »

Cette question a révélé une confusion plus profonde. Cette phrase ne reflète pas la cruauté divine, mais le don profond de la liberté humaine. Dieu accorde à l’humanité le libre arbitre – la capacité de choisir entre le bien et le mal, entre la vertu et la tentation. Le Notre Père reconnaît cette liberté et demande à Dieu de nous aider à la maîtriser. Le pape François, semble-t-il, a eu du mal à le comprendre. Son malaise face à cette phrase suggère un malaise plus large face à l’idée que la liberté comporte un risque moral – et que ce risque, à son tour, exige responsabilité, discipline et foi.

Au même moment, François envoyait le Cardinal pédophile déchu Theodore McCarrick à Pékin pour négocier un accord secret avec le Parti Communiste Chinois. Cet accord confiait le contrôle partiel de l’Église en Chine à l’Association Patriotique Catholique Chinoise, une organisation dirigée par le PCC et créée en 1957 pour réprimer le christianisme et le remplacer par une imitation approuvée par l’État.

La liberté religieuse en Chine communiste reste une fiction. L’enseignement de la foi aux enfants est de fait interdit. L’Association Patriotique Catholique Chinoise n’a pas pour but de protéger les croyants, mais de pacifier le Vatican et tromper l’Occident. Elle offre une fausse promesse de coexistence – tant que le catholicisme se conforme aux restrictions imposées par l’État. Certains appellent ce processus la “Sinisation” de l’Église. ‘Communisation’ serait un terme plus précis.

Source : https://www.theblaze.com/columns/opinion/new-pope-old-problem-will-leo-xiv-resist-tyranny

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1 commento

  • TERMINUS ha detto:

    Se il lupo cambia il pelo, non è per cambiare le sue abitudini, ma per ingannare meglio le sue vittime.
    https://gloria.tv/post/FSj9RdHdFz3W4pH2dUERYQCAV
    Leone XIV continua «l’impegno di Francesco per una Chiesa sinodale»
    Questa mattina, papa Leone XIV riceve in udienza nel Palazzo Apostolico i cristiani scismatici, i pagani e gli ebrei. Si erano riuniti a Roma per la sua cerimonia d’insediamento.
    Nel suo discorso, li ha ringraziati gentilmente per la loro presenza e le loro preghiere, che, ha detto, sono state per me “un grande conforto e incoraggiamento”.
    Papa Leone XIV ritiene che “uno dei punti di forza del pontificato di Papa Francesco sia stata la fraternità universale”.

    Ha affermato che sinodalità ed ecumenismo sono strettamente legati. “Intendo proseguire l’impegno di Papa Francesco nel promuovere il carattere sinodale della Chiesa cattolica e nello sviluppare nuove e concrete forme di sinodalità sempre più intensa in campo ecumenico.”

    E prosegue: «Il nostro cammino comune può e deve essere inteso anche in senso lato, coinvolgendo tutti, nello spirito della fratellanza umana».

    Leone XIV citò il documento di Abu Dhabi di Francesco del 2019, elogiando il suo predecessore per aver promosso una cultura del dialogo.