Prions Pour que le Conclave nous Donne un Saint Pape, un Pie XIII. Benedetta De Vito.

6 Maggio 2025 Pubblicato da

 

 

 Marco Tosatti

 

Chers amis et ennemis de Stilum Curiae, Benedetta De Vito, que nous remercions du fond du cœur, offre à votre attention ces réflexions et espoirs sur les années passées, et sur le Conclave imminent. Merci de tout coeur a Louis Lurton pour la traduction. Bonne lecture et bon partage.

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J’ai vécu le pontificat-punition bergogliosien, comme une Madeleine pénitente, sous la Croix, comme mon doux père spirituel, aimant dans sa douce laine dominicaine, me l’a enseigné lors de nos rencontres dans une basilique romaine.

 

Treize ans de larmes amères, de prières, de paroles dictées de là-haut et c’est pourquoi, la semaine in albis, blanche comme les âmes des Saints Pontifes du passé, pleine de l’Esprit Saint, a changé mon sentiment, lui donnant un souffle nouveau, arrondi.

Alors oui, ce fut un grand cadeau, comme celui qu’a vécu Elisabetta Canori Mora, ma sœur d’âme, lorsque, Pie VI étant mort prisonnier en France en 1799, Giannangelo Braschi, le beau Pape, fut élu pape Pie VII, à Venise, parce que Rome était occupée par les Français qui faisaient une razzia des richesses, de la beauté et de la vie.

Tout, à Rome semblait perdu, dans cette séquence dramatique du XVIIIe siècle. Pauvre et douce Élisabeth ! Les Français, révolutionnaires jacobins illuminati et francs-maçons impies, menaient la danse, le Pape avait été déporté (dès 1798), Rome, la seconde Jérusalem, était occupée et humiliée. Mais le peuple romain ne digèrait pas ces Français qui avaient même bouleversé la semaine biblique, abrogeant le Dimanche !

Le repos arrivait après neuf jours…allez. Elle, priait, sous la Croix. L’ennemi, cependant, n’était pas dans l’Eglise qui, en fait, se ressourçait dans le successeur de Pie VI qui fut Pie VII, Barnabé Chiaramonti, un bénédictin.

Lui aussi eut beaucoup, beaucoup d’épines, fut arrêté, emmené en France et revint à Rome en vainqueur : Napoléon était tombé.

Je ne peux qu’imaginer la joie d’Élisabeth de le voir mourir deux ans après le retour de notre Pie VII dans l’Urbs Eterna. Pie VII a célébré les funérailles de Pie VI revenu de France. Comme c’est étrange, nous aussi, comme Elisabeth, nous avons assisté aux funérailles d’un Pape (Benoît XVI), avec son successeur vivant (Bergoglio)…

Et avant de continuer, je souris en me rappelant la blague ironique de la mère pieuse et papiste du Marquis del Grillo dans le célèbre film avec Alberto Sordi.

Toute vêtue de noir et de dentelles, mince, droite, presque vénérable, la vieille femme dit : “Oui, oui, allez-y, riez, parce que Napoléon finira le cul par terre, alors qu’un pape meurt et qu’il s’en fait toujours un autre !”

Oui, oui, oui, c’est exactement comme ça. Le Seigneur n’abandonne jamais sa douce épouse, l’Église bien-aimée, et lui donne toujours une nouvelle vie, la Vraie Vie qui est Lui, un et trine, seulement.

Prions pour que le conclave qui va bientôt commencer nous donne un courageux et Doux Christ sur terre, un merveilleux Pie XIII !

 

Source : https://www.marcotosatti.com/2025/05/04/preghiamo-affinche-il-conclave-ci-doni-un-papa-santo-un-pio-xiii-benedetta-de-vito/

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