Le Spectacle Délabré de la Mort d’un Homme qui Emporte la Papauté dans la Tombe. Mastro Titta.

 

 Marco Tosatti

 

Chers StilumCuriali, Mastro Titta, que nous remercions du fond du cœur, offre à votre attention ces amères considérations sur la papauté au début du troisième millénaire. Merci de tout coeur a Louis Lurton pour la traduction. Bonne lecture et bonne diffusion.

 

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MASTRO TITTA : LE SPECTACLE DÉLABRÉ DE LA MORT D’UN HOMME QUI EMPORTE LA PAPAUTÉ DANS LA TOMBE

 

 

J’avais promis à l’éditeur de ce blog un petit billet agile sur le retour du Mentaliste Andrea Tornielli, qui a récemment écrit de succulents articles pendant l’agonie de Bergoglio en tentant de téméraires opérations de spin. Pris par un livre que je suis en train de terminer, je reporte cette fois encore. Ensuite, c’est que Bergoglio a la capacité d’enterrer avec un rot (métaphorique) toute contestation savante, y compris celles qui le concernent et lui sourient.

 

Je fais référence à la performance intempestive du peut-être pape en pantalon de pyjama et poncho argentin à la texture vaguement rabbinique, à Saint-Pierre. Sans mâcher les mots, Bergoglio est en train de mourir. Il a l’air aussi mal en point que la dernière photo de Silvio Berlusconi. Mais alors que la veille il recevait Charles et Cavalla, pardon Camilla, en uniforme officiel et sans même les canules nasales, en présence du Prince il apparaît négligé et ébouriffé comme Saddam Hussein retrouvé dans le trou d’araignée de Tikrit. Pour qu’il soit bien clair à qui il doit obéissance et respect.

 

Les laïcs qui le promènent et lui soufflent à l’oreille – des personnages très dignes, bien qu’inconnus – ont peut-être décidé de l’exposer ainsi, hors contexte, sans la moindre once de sens et de signification, parce que « quand tu seras vieux, tu tendras les mains, et un autre ceindra ton vêtement et te conduira là où tu ne veux pas aller ».

 

La coïncidence entre la rencontre avec l’autre pape royal et maçonnique et la sortie sanpietrine du beaucoup plus modeste évêque de Rome, si elle est coïncidente, est suggestive. On peut considérer les monarques anglais comme les plus grands adversaires de la papauté romaine, sur un plan religieux et symbolique. Le roi à la tête de l’Église anglicane règne sur le Commonwealth comme le pape sur les pays catholiques.

 

Sans parler de la proximité évidente de Bergoglio avec le très maçonnique Conseil pour un Capitalisme inclusif dirigé par sœur Lynn Forester de Rothschild, soit avec le mondialisme de matrice ésotérique pro migration, pédophilie, environnement, vaccinisme, miséricordisme et paupérisation. La Couronne anglaise est l’antithèse immanente de la papauté romaine. La boucle est bouclée : le roi-pape va soumettre le pape-roi, vaincu.

 

Le 14 mars 2013 déjà, le lendemain de son élection, Bergoglio était sur le point de sortir et de se rendre à l’autel de Notre-Dame à Saint-Jean-de-Latran en clergyman. Il a été retenu de justesse par ses serviteurs. On n’a peut-être jamais vu un pape aussi ambitieux de le devenir, aussi impatient de l’être, aussi déterminé à noyer la papauté dans son ego raréfié. Mais ainsi vont les choses à notre époque, où même si Dieu hurlait à tue-tête, personne ne l’écouterait.

 

Bergoglio entraîne la papauté dans la tombe. Je pense qu’il trépassera au cours de cette Semaine Sainte, toujours par respect pour le symbolisme du paria qui imprègne la conscience humaine bien plus qu’il ne le voudrait. Si je me trompe, vous me corrigerez.

 

Source : https://www.marcotosatti.com/2025/04/14/lo-spetacolo-fatiscente-della-morte-di-un-uomo-che-si-porta-il-papato-nella-tomba-mastro-titta/