Une Histoire Folle des États-Unis sur les Vaccins, Contrôles et Essais. Une Histoire qui nous Concerne aussi.
27 Marzo 2025
Marco Tosatti
Chers StilumCuriali, nous soumettons à votre attention, avec l’aimable autorisation de Fabio Franchi, cette histoire vraiment dérangeante. Merci de tout coeur a Louis Lurton pour la traduction. Bonne lecture, bon visionnage et bon partage.
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COMMENT FONCTIONNENT LES CONTRÔLES
Il s’agit d’une histoire folle.
Une fois que vous la connaîtrez, vous verrez soudain clairement ce qui aurait pu sembler sombre auparavant. Vous aurez également une idée de ce dont nous discutons depuis des années.
Je la raconte très brièvement, car la vidéo de l’entretien avec un jeune virologue, sous-titrée en italien, est également disponible. Le protagoniste est Stephen Krahling, qui travaillait chez Merck en 2010 (!) sur un projet visant à tester le vaccin MPR (rougeole-oreillons-rubéole). Comme les tests ne donnaient pas les résultats escomptés, on lui a ordonné de les modifier. Il a demandé des explications, a signalé le problème à la FDA, mais en vain. Il a été menacé. Après de nouvelles pressions, la FDA est finalement intervenue avec une inspection et a constaté que les vaccins étaient frelatés et ne respectaient pas les mentions figurant sur l’étiquette (en un mot : faux). Le chercheur a été évincé du laboratoire et n’a eu d’autre choix que de démissionner.
Il a poursuivi Merck pour escroquerie. Les juges ont fait appel à la FDA qui a confirmé la véracité des allégations. Le procès a duré 14 longues années et s’est terminé en 2024. En fin de compte – et c’est là que le bât blesse – le tribunal a décidé de classer l’affaire. Pourquoi ? Parce que, selon le raisonnement, il n’y a pas eu de fraude à l’égard du public. Il est vrai que les vaccins étaient frelatés, que l’étiquetage était trompeur, qu’ils n’étaient pas efficaces, qu’ils provoquaient des effets indésirables. Oui, c’était vrai, mais il n’y a pas eu de fraude. En fait, les CDC étaient au courant de tout cela, les CDC eux-mêmes avaient mené des études internes confirmant ces résultats, mais ils avaient décidé d’acheter ces mêmes « vaccins » de toute façon, en toute connaissance de cause. On ne peut donc pas dire que Merck ait trompé le véritable acheteur (les CDC), ni même le public. Affaire classée, en effet.
Comment commenter ? Entre-temps, Krahling a eu de la chance. Une autre dénonciatrice de Merck (dénonciateur de tricheurs) est morte dans des circonstances mystérieuses, alors qu’elle était en excellente santé (j’ai personnellement rencontré Brandy Vaughan à Rome lors d’une manifestation organisée à l’occasion de l’approbation de la loi Lorenzin).
Brandy Vaughan retrouvée morte à son domicile le 18 décembre 2020 de causes “naturelles”.
Ensuite, bien sûr, des centaines de millions de ces vaccins Merck ont été administrés à des enfants aux États-Unis, avant et après 2010. Ceux qui ont été vendus dans le reste du monde et en Italie étaient certainement de qualité supérieure, même si certains esprits chagrins ne sont pas d’accord…
Enfin, les vaccins dits MPR ne peuvent être considérés ni comme tels (puisqu’ils sont inefficaces), ni comme des médicaments (ces derniers présupposent une composition certaine et constante).
J’ajoute que, vu le comportement de la FDA et du CDC (sur lesquels l’EMA et l’AIFA s’alignent pratiquement toujours), on peut légitimement douter de TOUS les vaccins (et pas seulement !) auxquels la FDA donne l’imprimatur.
Et j’en ai dit beaucoup.
Bien plus encore… au prochain épisode !
Vidéo de l’interview de Sharill Attkinson avec Stephen Krahling (dans le programme Full Measure) :
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Krahling whistleblower sub it
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Tag: controles, essais, vaccins
Categoria: Generale